From the cloudbursting cannon of Taylor Burgess:
This album’s ambiguous and visceral title pops like some insta-nostalgic mixture of The Zit Remedy, a nearly forgotten Eric’s Trip video and your overwrought LiveJournal entries from high school (which, upon second glance, are much more heartfelt and less embarrassing than you remember). Alannah W. and Cole W. have been making these one-, two-, and three-chorders for a few years now, apparently writing songs tallying into the hundreds, but have pared the laundry list down to 12 for this release. Switching between cymbals, skins and strings, they take turns singing about soft-shoeing through their lives and dealing with, y’know, the shitty stuff, but glossing it over. It all sounds peachy keen, albeit sometimes frantic.Du canon qui explose les nuages de Taylor Burgess: (Traduit par Maya Keshav)
Le titre ambigu et viscéral de cet album explose comme une sorte de mélange insta-nostalgique de v, un vidéoclip presque oublié d’Eric’s Trip, et tes entrées LiveJournal de l’école sécondaire (qui, quand tu les lis encore, sont plus sincères et moins gênantes que ce dont tu souviens). Alannah W. et Cole W. créent ces morceaux d’un, deux et trois cordes depuis quelques ans maintenant; apparemment ils ont crée une centaine de chansons, mais ils ont choisi 12 pour cet album. En alternant entre les cymbales, les tambours et les cordes, ils chantent à tour de rôle à propos de marcher à travers leurs vies et s’occuper des choses, euh, tu sais, merdiques, mais ils passent rapidement sur tout ça. Partout il y a l’air super assidu, même si parfois c’est un peu frénétique.