From the empty red cup of Laura Stanley:
There’s a stain in the carpet, a drink in your hand, and out of someone’s crappy computer speakers Caity Fisher plays her Party Games. Her pop has enough power to rise above the din of the drunken party goers; her fuzzy licks match the fuzz on your tongue. As Fisher croons about feeling good, you drink more and the room begins to spin. She convinces you to dance. At first you’re alone but then others join in. You lock eyes with someone on the other side of the room… The party ends and you don’t go home alone. A cruel hangover, puke, and a stranger greet you in the morning, but the next round of Party Games is not too far away.De la coupe rouge vide de Laura Stanley: (Le lendemain de veille cruel d’Odile Leclerc)
Il y a une tache sur le tapis, un verre dans ta main et venant des haut-parleurs merdiques de l’ordinateur de quelqu’un, Caity Fisher joue sa Party Games. Sa pop a assez de puissance pour s’élever au-dessus des gens saouls qui font la fête, ses rythmes flous correspondent au duvet sur ta langue. Alors que Fisher roucoule à propos du fait qu’elle se sent bien, tu continues à boire et la pièce commence à tourner. Elle te convainc de danser. Au début, tu es seul, mais ensuite d’autres te rejoignent. Tu croises le regard de quelqu’un à l’autre bout de la pièce… La fête se termine fin et tu ne rentres pas seul chez toi. Un lendemain de veille cruel, de la vomissure et un étranger t’accueillent au matin, mais la prochaine partie de Party Games n’est pas trop loin.