From the tectonic slow-dance of Bryce Warnes:
These petrichoral arrangements moan and stutter and sing, summoning Cascadia in dripping canopies and tectonic slow-dance. Working primarily with bowed guitar, C.Diab deposits tones in layers, building sedimentary dronescapes, wistful core samples of moments and moods gone by. Split into four parts, "In Seven" is a rainy improvisation featuring Colby Sparks and Nam Shub jam-mate Bill Young, weaving a thread through the album and wrapping the whole in an unsettling, ritual atmosphere. Starting off side B, "The Valley and Its Night" brings it all back home with beachfire-warm fingerpicking. Interludes is a limited-run, must-grip deep listening experience for the innerspace wayfarer.
Du slow tectonique de Bryce Warnes: (Traduit du stylo grinçant de Dominic Mpilé)
Cet album, telle une odeur plaisante des premières pluies, est grinçant, saccadé et bourdonnant. Il lance un appel à la Cascadie par des sons qui simulent des auvents qui gouttent et des slows tectoniques. Jouant principalement de la guitare frottée, C.Diab empile les tons et produit une ambiance de drone sédimentaire, de carottage mélancolique qui laisse passer le temps et les états d’âme. Scindé en quatre parties, "In Seven" est une pluie d’improvisations, dont la collaboration de Colby Sparks et de Bill Young, compagnon de jam de Nam Shub, permet d’enfiler son style à travers l’album et d’envelopper le tout dans une atmosphère troublante et rituelle. Depuis la face B, "The Valley and Its Night" nous ramène aux sources, grattant de la guitare sur la plage, près d’un feu de camp. Interludes, sorti en quantité limitée, est une expérience saisissante et profonde pour les voyageurs intérieurs.