With a CV that includes music critic, record store clerk and CJSW show host, there can be no doubt that Devin Friesen feasts on a high protein diet of noise-rock. Incidentally, beware the flexing of his musical muscles for solo moniker Bitter Fictions. Friesen’s impressive debut c40, The First Book of Electricity, offers an expansive musical palette, melting a bit of each genre into some sort of experimental super-alloy. Chrome’s deconstructionist art-rock comes to mind, yet channeled through the detached, sluggish pace of early ’90s alternative. Here is an album that manages to question itself while maintaining a rock-solid focus. Somehow, it all relates to teaching kids about electricity.

Disquaire, journaliste musical et DJ à CJSW nul doute que Devin Friesen engloutit une diète hyperprotéinée de musique expérimentale. Redoutez-le donc lorsqu’il exerce ses muscles musicaux avec son projet solo Bitter Fictions. L’impressionnant The First Book of Electricity c40 explore une palette musicale sans égal, fondant un peu de chaque genre dans une espèce de super-alliage-expérimental. On y retrouve le art-rock déconstructiviste de Chrome incorporé du détachement et du rythme flâneur propre au rock alternatif du début des années 90. C’est un album qui parvient à se remettre en question continuellement sans dévier d’une trajectoire solide. Ne reste plus qu’à savoir quel est le lien avec apprendre les fondements de l'électricité aux enfants.

Bitter Fictions - In Absence Bitter Fictions - On Film