From the frentic dialtones of Jibril Yassin:
Betrayers are the coolness, indicated by a sheer sense of self. Let The Good Times Die proves that in spades. It’s the sound of summer blues painted with the most warped pastels, the aural equivalent of someone partying in a groovy half-time with their internal monologue provided. Lurid tales of existential ruminations and menacing cartoon drama come at you, filtered through fuzzed out guitars and bright farfisa melody lines. It’s something that goes hand in hand on this LP with poppy daydreams and heady psychedelia.
Des tonalités frénétiques de Jibril Yassin: (Traduit par Jessica Grenier)
Betrayers, c’est une fraîcheur qui se ressent jusque dans notre perception de nous-mêmes; et Let The Good Times Die en fournit à la pelletée. C’est le son des blues de fin d’été, peint de pastels tordus, l’équivalent aurique d’une personne qui fête sur un demi-temps groovy, monologue intérieur en sous-titre. Une attaque de drames cartoonesques menaçants et de contes sensationnels de réflexions existentielles, filtrée par le fuzz des guitares et la ligne mélodique éclatante de Farfisa : rêverie pop et psychédélisme enivrant compris.