From the melancholic fuzz of Benoit Poirier:
On one side, Bad Vibrations turn their twisted power-pop-punk down a little bit to show off their flannel shirts on a bumpy trail of melancholic fuzz, iterative drums and ethereal voices. They say “hi” to c88-90 grunge with a look both sad and angry at once, because grunge is tough. On the other, Bloodhouse turn the punk up, making their wall of sound thinner to let more fun into the psych-garage. They compel you to until-it-bleeds foot-stompin', halfway between a John Dwyer of then and now. Halifax shines again.Du mauvais sang et de la maison des vibrations de Benoit Poirier:
D'un côté, Bad Vibrations délaisse quelque peu le power-pop-punk tordu qui caractérisait son premier maxi pour s’exposer la flanelle sur un sentier cagneux de fuzz mélancolique, de tambours itératifs et de voix éthérées et dit « allo » au grunge c88-90 d’un air à la fois triste et fâché, parce que le grunge c’est compliqué. De l'autre, Bloodhouse se magne le punk, amincit son mur du son pour laisser passer plus de fun dans son psych-garage et incite sérieusement au tapage de pied jusqu’à ce que ça saigne, entre un John Dwyer d’avant et un de maintenant. Halifax l’a, l'affaire.