From the glass museum of James Lindsay:
Jakob Rehlinger (a.k.a. Moonwood and proprietor of Arachnidiscs) has to be one of the most ambitious and prolific conceptual composers in Canada today. Alphabeta, his third release of 2012 and second under the Babel moniker, is an experiment in translating musical notation to words to actual music. By creating a sort of musical Boggle, he, for example, finds a path for the notes A, C, D, E, G to spell C-A-G-E-D, and following that staff, produces a spiritual tribute to the composer. The liner notes include brief biographies of all 17 (!) pieces, written in a charmingly self-conscious tone, where he worries abut whether he is just chasing a gimmick, praises the creative stimulus of working under such strict constraints, and namedrops some artists who lent inspiration to the album’s post-rock sound (Cage, Swans, Rhys Chatham, Tortoise, etc). Alphabeta is impressive not only because Rehlinger succeeds in his experiment, but by clocking in at just under an hour with every piece feeling fully realized, the sheer epic scope is a dizzying triumph onto itself.Du musée de verre de James Lindsay: (Traduit par Maya Keshav)
Jakob Rehlinger (alias Moonwood et le propriétaire d’Arachnidiscs) devrait être un des compositeurs conceptuels les plus ambitieux et prolifiques au Canada aujourd’hui. Alphabeta, son troisième morceau de 2012 et le deuxième sous le nom de Babel, est un essai dans la traduction de la notation musicale en les mots en la musique. En créant une sort de Boggle musical, il trouve, par example, un chemin pour les notes A, C, D, E, G pour épeler C-A-G-E-D, et avec cette mélodie, il produit un hommage spirituel au compositeur. Les textes sur la jaquette incluent les courtes biographies pour tous les 17 (!) morceaux, écrites avec un ton délicieusement gêné, où il s’inquiète pour la possibilité qu’il ne pourchasse qu’un gadget, où il fait l’éloge du stimulus créatif de travailler avec les contraintes si lourdes, et où il balance les noms connus de quelques artistes qui lui ont donné de l’inspiration pour les sons post-rock de l’album (Cage, Swans, Rhys Chatham, Tortoise, etc). Alphabeta est impressionnant non seulement parce que Rehlinger réussit avec son essai, mais grâce à la duration (moins d’une heure) et au fait que chaque morceau a l’air d’être complètement réalisé, l’énorme étendue est un triomphe vertigineux.