From the unstable life of Laura Stanley:
Nothing is permanent. There are, though, natural phenomena that make us believe in stability: the dance between the sun and the moon, the ocean’s breaths, the watchful eye of the goshawk. We often fall into steady routines, the fixedness of which quell our anxious hearts. The rolling darkness of anthéne’s permanence is a reminder that the world, and everything held in its hands, is in flux. The denseness of the synths mimic the nebulosity of the future, pressing us to savour the present before it transfigures once again.De la vie instable de Laura Stanley: (De Moi Quevillon)
Rien n’est éternel. Par contre, il existe des phénomènes naturels qui nous font croire à une certaine stabilité : la danse entre le soleil et la lune, le ressac de l’océan, le regard attentif de l’autour des palombes. Nous succombons facilement à ces routines sécurisantes qui offrent une constance apaisante à nos cœurs inquiets. L’obscur roulement de l’album Permanence d’Anthéne, nous rappelle que le monde dans son entièreté est un flux. La densité des synthés imite la nébulosité du futur, nous incitant impérieusement à savourer pleinement le présent avant qu’il ne se renouvèle encore une fois.