From the comfortable sadness of Scott Brown:
Alvvays is an entity of nostalgia. This is music that elicits a comfortable sadness that we all assume will end with our teenage years, but still appears from time-to-time. However, to pigeonhole them as solely a heart-on-sleeve pop act is wrong and a disservice to the nine near-perfectly crafted tracks found on this debut. Electric guitar jangles and synthesizer hums act as the backdrop to treacherous swimming trips, differing opinions on matrimony, thoughts of a red planet, and the moments of beauty inhabiting the world of Alvvays.
De la tristesse confortable de Scott Brown: (Traduit par le spleen de Jessica Grenier)
Alvvays est une entité faite de nostalgie. C’est une musique d’où émane une tristesse confortable – celle que nous pensions morte avec la fin de l’adolescence, mais qui apparait toujours de temps en temps. Par contre, les cataloguer en tant que groupe pop sentimental serait faussement réducteur et ne rendrait pas justice aux neuf pistes de leurs débuts, qui frôlent la perfection. Des Tintements de guitare électrique et des bourdonnement de synthétiseurs forment la toile de fond de sorties de baignade dangereuses, de divergences d’opinions sur le mariage, de pensées d’une planète rouge et des moments de beauté habitant le monde d’Alvvays.