From the painfully arcane morsels of Adam Bradley:
Waking up to a screaming alarm clock, a bookshelf collapsing onto your half-awake head, getting up to step on a mousetrap, trip-falling into a pile of electric instruments. Agitated, aggravated post-punk with hollerin’ don’t-give-a-damn vocals and deranged electronic accoutrements. Shadows of The Birthday Party loom along the record, including a cover of the band’s ‘Roland Around in That Stuff’. Painfully stitched together from infinitesimally arcane samples of 60’s girl groups and film soundtracks, then fleshed out by a merry band, this eponymous morsel is a shambling, outlandish masterpiece.
Des morceaux douloureusement obscurs d’Adam Bradley: (Traduit par Jessica Grenier)
Se faire réveiller par le cri du réveil matin, juste avant qu’une tablette n’écrase ta tête à moitié endormie. Mettre un pied hors du lit, le second dans une trappe de souris, puis tomber de façon semi-contrôlée dans un paquet d’instruments électroniques. Du post punk tapageur énervé, des chants criant de je-m’en-foutisme et un attirail électronique dément. L’ombre de The Birthday Party pèse sur l’enregistrement – qui comprend d’ailleurs une reprise de « Roland Around in That Stuff ». D’abord péniblement cousu à l’aide d’infimes extraits obscurs de groupes de filles des années 60 et de bandes sonores de films, puis épaissi par un joyeux groupe, ce morceau éponyme est un chef-d’œuvre chancelant et insolite.