From the friendly silence of Joshua Robinson:
There are times when we must stop. There are moments within moments which demand that stall. Freeze. Taste with our ears. Give way to the peck at the door; the coo that finds you speaking in tongue, struggling to form coherent colloquy. This presentation of sounds is arresting, yet humble. Iterations of familiarity thrown against a soundscape that is as much tapestry as it is those elements of being which we so callously disregard. These are individual odes-to-being, comprising a totality that causes you, me, her, him to remember that sound is emblematic; sound is poetry; sound is… life.
Du silence amical de Joshua Robinson: (Traduit par Aliké Harel)
Parfois, il faut s’arrêter. Certains moments, à l’intérieur d’un moment, nécessitent une part de surplace. Figez. Savourez avec vos oreilles. Faites place au toc à la porte, au gaa qui vous fait babiller, incapable de parler en vernaculaire cohérent. L’amalgame de sons est captivant, mais humble. Les itérations du familier sont flanquées d’un paysage sonore en fresque, dessinant de petits éléments de l’être que nous délaissons froidement. Portions d’odes au savoir-être, les mélodies englobantes nous rappellent, à elle, à lui, à toi, à moi, que le son est porteur de sens, de poésie… de vie.