From the unfiltered musings of Griffin Martell:
Art is but an accident. This is an inevitable realization at the moment of creation. The creator proclaims life in the same breath that bemoans it. Aidan Baker, being no stranger to the contingency of creation, deftly cultivates material indifference on his Pleasence debut. Breathlessly gliding through gauzy passages of brush percussion and delicate jazz guitar, Baker confesses discrete yearnings and reflections. While a torpid, Lynchian ambience creeps in, errant clicks and squiggles accent the sonic landscape with sobering reminders of digital reality. Baker is firmly aware of his limitations yet he does not balk at them, he indulges them.Des réflexions non filtrées de Griffin Martell: (Traduit par les cocktails fleuris de Marie-Pier Chevrier)
L’art est tout sauf un accident. C’est l’inévitable réalisation au moment de la création. Le créateur [insuffle la vie] du souffle-même avec lequel [il la maudit]. [Aidan Baker], loin d’etre étranger au [caractère contingent de la création], cultive adroitement l’indifférence matérielle dès ses débuts musicaux avec [Pleasence]. Glissant, haletant, au travers de passages translucides de balais percussifs et de guitare jazz délicate, Baker fait de discrets aveux d’aspirations et de réflections. Alors qu’une ambiance Lynchesque léthargique vous envahit, d’ambulants cliquetis et gribouillis accentuent le paysage sonore de tristes rappels à la réalité numérique. Baker est bien conscient de ses limites sans pour autant s’y arrêter; au contraire, il leur donne libre cours.