From the bewildering torrent of Joshua Robinson:
Montreal, that great and bewildering torrent of sprawl and assertion; of grand presence and might. Swallowing, its stomach that mighty crucible that, on occasion, explodes to rebirth what it has consumed in entirely new form: post-rock reborn as futurist ambient drone-rock. Artefacts of cultural and creative convergence at play, its mountains congregating at the point where the old begets the new, and the new adopts the old. Distinctions born of interaction and close-quarters, musical and otherwise.
Released on vinyl from Montreal’s Jeunesse Cosmique and cassette from Etobicoke’s Arachnidiscs, ENSOLEILLÉ, 1972 is subdued in its capacity to serve as cathartic overture, quick and quiet with its breaths, careful… intentional. A Sacred Cloud are the sounds of a community stirring, not to draw attention, but rather to remind itself that it is still there. That amidst the churning of urban sprawl, identities can indeed remain distinct, artistries uncompromised, and genres — those proverbial melting pots of self-expression — are able to adapt to changing climates; global, yet micro-level. Elegiacal and momentous. The tonalities of a place existing within a place. Sunny, 1972.
Du torrent ahuri de Joshua Robinson: (Traduit du shaolin kung fu de Yoko Ono)
Montréal, ce grand torrent qui s’affale et s’affirme; de grande présence et volonté. Absorbant, son ventre est un puissant creuset qui, à l’occasion, explose afin de faire renaître tout ce qu’il a consommé dans une forme entièrement nouvelle : le post-rock se réincarne en drone-rock futuriste ambiant. Artéfacts de la convergence culturelle et créative en jeu, ses montagnes se rassemblent en un point où le vieux engendre le neuf, où le nouveau adopte le vieux. Les distinctions naissent de l’interaction et de la proximité, musicale et autre.
Prévu en sortie vinyle au mois de novembre sur l’étiquette montréalaise Jeunesse Cosmique ainsi qu’en cassette sur Arachnidiscs d’Etobicoke, ENSOLEILLÉ, 1972 est soumis à sa capacité à servir d’ouverture cathartique, rapide et douce, avec ses souffles, prudents… intentionnels. A Sacred Cloud est le son d’une communauté bouillonnante, non pas pour attirer l’attention mais plutôt pour se rappeller qu’elle est toujours là. Qu’au coeur de l’étalement urbain en série, les identités peuvent en effet rester distinctes, l’art sans compromis, et les genres — ce melting pot proverbial d’expression personnelle — sont capables de s’adapter aux climats changeants; globalement, mais aussi à un niveau micro. Élégiaque et important. Les tonalités d’un endroit existant à l’intérieur d’un endroit. Ensoleillé, 1972.