From the nostalgic words of Aaron Levin:
Last year AHNA released this amazing violin+bass drone cassette (to be reviewed soon) and quickly re-emerged as a thrashy hardcore outfit. The dialectic has completed its full swing as the new CD sees the duo finding a compromise between the slow-and-low and hypertonic thrash. The searing bass-lines and feedback squall are patterned with the drummer's screaming as the songs build into 10 second cycles of drone. It's an interesting format and I'm excited to see where it goes. I was happy to catch them live during Calgary's Sled Island music festival and it was a definite highlight. However, I kept asking myself: how many doom groups have female singers? I like it.
Des mots nostalgiques d’Aaron Levin: (Traduit par l’esprit rétro de Maya Keshav)
L’année dernière AHNA a sorti cette formidable cassette violon+basse (de laquelle on fera la critique bientôt) et il a réapparu rapidement comme une groupe trashy hardcore. Le balancier a fait son retour vu qu’avec le nouveau CD le duo trouve un équilibre entre le lent-et-bas et le trash hypertonique. Les mélodies de basse et la rafale du larsen assortit aux hurlements du batteur pendant que les chansons s’élèvent aux cycles de drone de 10 secondes. C’est un format intéressant et j’ai hâte de voir où il va aller. J’étais heureux de les voir en live au festival Sled Island de Calgary et c’était certainement un temps fort. Cependant, je continuais de me demander: combien des groupes doom ont les chanteuses? Je l’aime.