Aaron Levin
“It’s just some songs I recorded by myself” stated JV DUB, Shearing Pinx‘s drummer and participant in a plethora of Vancouver fringing (Aerosol Constellations, Totally Ripped, and Shitty Weed). A fairly humble statement considering the miasmic bludgeoning of basement doom and hellish guitar shreddery contained within A Poison Stronger Than Love. As bewildered and shocked as I was (and still am), it’s brilliance lay in providing the type of intimacy that is addicting and shameful; we become voyeurs on the brink of some terrifying shit. Which is great, because we need unnerving music to remind us of how remarkable it is to be moved. I’ve searched long and hard for artifacts that carry this banner and they are few and far between; intense, serious, and heavy. Real heavy. Really heavy. If you listen to this cassette at night you will, and I paraphrase the wise words of rapper Plies: go to bed real; wake up real.
Aaron Levin: (Traduit par les oreilles contentes de Maya Keshav )
“Y a juste quelques chansons que j’ai enregistré moi-même” a dit JV DUB, le batteur de Shearing Pinx et un participant dans une pléthore des marges de Vancouver (Aerosol Constellations, Totally Ripped, et Shitty Weed). Une déclaration assez humble tenant compte de la matraque plein de miasmes de la malédiction sous-sol et la déchiquetation infernale de guitare compris dans A Poison Stronger Than Love. Si perplexe et bouleversé que j’étais (et encore suis), son génie était de fournir le genre d’intimité qui est entraînant et honteux, on devient les voyeurs à coté des choses tellement épouvantes. Qui est merveilleux, parce qu’on a besoin de la musique troublante pour nous rappeler comment c’est incroyable d’être ému. J’ai remué ciel et terre pour les artéfacts qui portent cette banderole et ils ne courent pas les rues; intense, grave, et lourd. Très lourd. Très très lourd. Si tu passes ette cassette en nocturne tu vas, et je paraphrase les mots sages du rappeur Plies : couche-toi vrai, réveille-toi vrai.