The first time I got close to another women (during our junior-high dance) I went for a butt-grab. I was twelve. She told me she had to go to the bathroom and never returned. The confusion hanging in the air post-grab-pre-rejection would have been the perfect foreground for the Silly Kissers' new adventure into vintage summer-of-'84 teenage angst. Six months after they dropped Love Tsunami, their take on the more danceable side of '84, the Silly Kissers return with a thoughtful, less sugary, and more interesting segue into the unchartered waters of extreme-catchiness and mid-80s radio-faire. They depart from the Human League standard and set-course towards a more emotional and distorted take on '80s-balladry. The rapid key-scales and spoken-word segways are still there, so you know it's the same band of creative sailors on a quest for some higher understanding of pop. The new album is a grower and it's blowing up my spot right now. I love it.
La première fois que je fus près d’une autre femme (durant notre danse de junior-high) j’y suis allé pour un pelotonnage de fesses. J’avais 12 ans. Elle m’a dit qu’elle devait aller aux toilettes et n’est jamais revenue. La confusion se balançant dans l’air post-pelotonnage-pre-rejet aurait pu être le premier plan parfait pour la nouvelle aventure de Silly Kissers dans la colère d’ado classique de l’été de ‘84. Six mois après qu’ils ont laissé tomber Love Tsunami et leur usage* du côté plus dansable de ’84, les Silly Kissers reviennent avec une segue* plus intéressante, moins sucrée et plus attentionnée dans les eaux inexplorées de l’extrêmement entraînant et mi-80 de la radio*. Ils partirent du standard de la Human League et mirent le cap vers des ballades des années 80 plus émotionnelles et déformées. Les rapides montées de touches* et les mots parlés de segways sont toujours là, alors vous savez qu’ils sont le même groupe de marins créatifs dans une quête d’une compréhension plus grande du pop. Leur nouvel album devient meilleur avec le temps et il fait sauter ma place à ce moment même. Je l’adore.