From the nostalgic words of Aaron Levin:
In the 70s Kenneth Higney sold his big-rig to release one of the strangest downer-rock adventures the private-press universe has to offer. Thankfully, The Pink Noise share no audible similarities to Higney other than the enunciation and cadence of the singers voice. This resemblance is a positive, albeit strange aspect of the Montreal trio and it's exciting to hear that style of singing over beds of distorted, disjoint drum patterns, eerie organs, and busted guitar lines (instead of the wasted hard-rock riffery of Higney's Attic Demonstration). This is The Pink Noise's third release and shows them shifting from the weird-punk interpretation of the 80s minimal synth scene into a bizzare lo-fi cabaret of the wyld. From meandering, reverb-drenched lollygagging to reggae laced post-punk. It's warbly, it's warm, and it's wonderful. Canada needs more imaginative figures like The Pink Noise.
Des mots nostalgiques d’Aaron Levin:
Dans les années 70, Kenneth Higney vend son semi-remorque* pour faire sortir une des plus étranges aventures de rock dépressant que l’univers de la presse privée a à offrir. Heureusement, The Pink Noise ne partage pas de similarités avec Higney autrement que l’énonciation et la cadence de la voix des chanteurs. Cette ressemblance est un aspect positif du trio de Montréal quoiqu’étrange et c’est excitant d’entendre ce style de chant par-dessus les bases des patterns* déformés et incohérents des batteries, des orgues sinistres et des lignes de guitares éclatées (au lieu du gaspillage de riffs du hard-rock* de Attic Demonstration par Higney). C’est la troisième parution de The Pink Noise et elle les montre entrain de passer d’interprétations de punk étrange des scènes minimalement synthétisées des années 80 à des spectacles lo-fi bizarres du wyld*. Du flânage sinueux trempés de réverbérations à du post-punk lacé de reggae. C’est roucoulant, c’est tiède et c’est magnifique. Le Canada a besoin de figures plus imaginatives comme The Pink Noise.