Frantic, urgent basement drum-machine pop from the bowels of Vancouver, BC. The opening track on Freedom reminded me of Sean Savage's ode to Eamon McGrath (one of Sean's best songs, despite the lyrics) and I was immediately hooked. Contained within are imaginative combinations of mystery and electronics, acoustic reverberations and brooding stagnation, wasted solos and wrecked drumming; sounds that demand more and, dammit, I want it now. I'll have to settle for the "Candy" diskette single (yes, on old 3.5" floppies) or the noisier Stamina Maggot cassette. I love you Casio.
Frénétique, une urgente batterie de sous-sol sort des entrailles de Vancouver, C.-B. La piste d’ouverture sur Freedom me rappelle l’ode à Eamon McGrath de Sean Savage (une de ses meilleures chansons, malgré les paroles) et je fus immédiatement accro. Contenu dans une combinaison imaginative de mystère et d’électroniques, de réverbérations acoustiques et de stagnation menaçante, des solos décharnés et des percussions accidentées; des sons qui demandent plus et putain, je le veux maintenant. Je vais devoir me contenter du solo de la disquette de ‘’Candy’’ (oui, sur de vieilles disquettes 3.5’’) ou la cassette plus bruyante de Stamina Maggot. Je vous aime Casio.