Two years ago Damage laid this collection on me and I somehow only got to it recently, reflecting on the need to stem the tide of things COMING INTO my zone. I’ve written about his Industrial band Phycus over at Thee-Outernet, and Early Electronic Works (1983-1988) collects releases made during those years under the name Data Strangler in Sydney, Nova Scotia. Damage claims he was trying to combine Judas Priest <http://www.youtube.com/watch?v=HT_iqsDdGgk> and Men Without Hats, a sort of Canadian teen alchemy, but the results on the early version of “Refrigerators” sounds more like Red Krayola to me. So much brilliance here: an amazing basement vibe (apparently tracks were bounced between boomboxes and you can pretty much hear the wood panelling), crude synth punk, MB style electronic miniatures, synth pop, Kemberic tremolo’d organ zones and so on. Damage’s songcraft is tight and he employs a varité approach to his lyrics which at times are hilarious (“Big Man On Campus”), creepy (“Refrigerators”), tragi-comedic (“Tar Pond Monster”) and cyberpunkish “(Malfunction 54”). Here are two mp3s, but I imagine this is getting the wax treatment sooner than later.
Deux ans passés, Damage a posé sur moi cette collection et d’une quelconque façon, je ne l’ai eu que récemment, réfléchissant sur le besoin de ralentir le court des choses VENANT DANS ma zone. J’ai écris à propos de son groupe industriel Phycus sur le Thee-Outernet, et Early Electronic Works (1983-1988) ramasse les sorties faites durant ces années sous le nom de Data Strangler à Sydney, Nouvelle-Écosse. Damage dit qu’il essayait de combiner Judas Priest et Men Without Hats, un genre d’alchimie d’ado canadien, mais les résultats sur la première version de ‘’Refregirators’’ sonne plus comme Red Krayola à mes oreilles. Tellement de brillance ici : une superbe ambiance de sous-sol (apparemment les pistes rebondissaient entre les systèmes de son et vous pouvez pratiquement entendre les panneaux de bois), des synths de punk brutes, des miniatures électroniques de style MB, de la pop synth, les zones d’organe trémolo de Kemberic et ainsi de suite. L’artisanat de chanson de Damage est serrée et il emploie une variété d’approches à ses paroles lesquelles sont parfois hilarantes (‘’Big Man On Campus’’), terrifiantes,( ‘’Refregirators’’), tragi-comédie, (‘’Tar Pond Monster’’) et cyperpunké ( ‘’Malfunction 54’’). Voilà deux mp3s, mais j’imagine que ça l’obtient le traitement à la cire plus tôt que tard.

Brian Damage - George The Knight (1985)

Brian Damage - Refrigerators (1985)