From the wild blue yonder of Preacher Katie:
“Thou shalt not do” was never whispered amongst the gathering of animals, children, artists, vendors and audience members in the forest of Field, Ontario at the River & Sky Festival. The freedom of expression and civil disobedience was an undercurrent that lingered through the small community atmosphere; this free rein resulted in a mannerly Temporary Autonomous Zone that stonewalled typical structures of control at festivals. No one was harmed, no one was a weirdo, no one OD’d, and an aggressive security guard waving his finger at you had nothing to do with this.
“I’ve never poured so much beer on my head as I did at this festival. I also discovered I can fit a 12-pack of beer in my jean jacket.” - Neil Bednis (Geyser)
“I loved playing on a beach with the sand under my feet. I liked the idea of a 360 degree stage.” - Charlie Glasspool (The Silver Hearts)
“The Ketamines had an amazing time playing on the beach all night long. We still have sand in our gear, which is a nice reminder that not every show is terrible.” - Paul Lawton (The Ketamines)
“Any festival where paddle boats are free, dogs are lingering everywhere, and I feel like I am in my own backyard is OK in my Jack Daniels drink.” - Jalene Plamondon (Volunteer)
“I love the community feel of the festival, and how family-friendly it is. It is amazing now to see my little one becoming part of that community too.” - Jessica Nadel
“The Mobile Media Lab embodies everything that River & Sky does - freedom, openness, and capturing natural experiences. That’s what it’s all about, right? Giving people a chance to get themselves out there and explore.” - Brendan Lehman
Par les grands espaces célestes de Preacher Katie: (Traduit par Nadine Tkatchevskaia)
« Tu ne feras point » n’a jamais été murmuré parmi le rassemblement d’animaux, d’enfants, d’artistes, de vendeurs et de membres du public dans la forêt de Field, Ontario au Festival River & Sky. La liberté d’expression et la désobéissance civile étaient des thèmes communs qui sont restés dans l’ambiance de petite communauté. Ce climat s’est réalisé dans la création d’une zone autonome temporaire qui a déchiré, dans le style des émeutes de Stonewall les structures de contrôle typiques des festivals. Personne n’a été blessé, personne n’était bizarre, personne n’a fait une overdose, et le gardien de sécurité qui pointait les gens du doigt n’y a été pour rien.
« Je n’ai jamais versé autant de bière sur ma tête qu’à ce festival. J’ai aussi découvert que je peux mettre douze bières dans ma veste en jean. » - Neil Bednis (Geyser)
« J’ai adoré jouer sur la plage avec le sable sous mes pieds. J’ai aimé l’idée d’une scène à 360 degrés. » - Charlie Glasspool (The Silver Hearts)
« The Ketamines se sont bien amusés à jouer sur la plage toute la nuit. Nous avons encore du sable dans nos instruments - un bon rappel que tous les shows ne sont pas aussi terribles. » - Paul Lawton (The Ketamines)
« Lorsqu’à un festival, il y a des pédalos gratuits, des chiens partout et que je me sens comme dans ma cour arrière, c’est bien dans ma boisson Jack Daniels. » - Jalene Plamondon (Bénévole)
« J’aime le fait que le festival est comme une communauté et qu’il est accessible aux familles. Il est extraordinaire de voir que mon enfant fait désormais partie de cette communauté aussi. » - Jessica Nadel
« The Mobile Media Lab illustre tout ce qui fait River & Sky : la liberté, l’ouverture, les expériences naturelles. C’est de ça dont il s’agit, non? Donner aux gens la chance de s’y retrouver et d’explorer. » - Brendan Lehman