From the growing pains of David Steinberg:
You must be this high to ride. No admittance under eighteen years of age. Lights out by ten. And if the rules from above weren’t bad enough when it was possible to obey them, what are we to do about the contradictions? The mutually exclusive laws of intersecting worlds, the vocalized “be yourself” and the implicit “fit in”? What then? Then what?
Pascaline Knight’s accordion-bound Uplifting speaks minimally and ironically about the tensions of growing up. The hazards, the awkwardness, the impossible and the inevitable present in beautiful screen-printed black, white, and pink. Right in front of you, staring through your years: Straight to your acne, braces, and funny feelings. Are you ready to be sixteen again?
De la crise d’adolescence de David Steinberg: (Traduit par/van de Elf Ranken)
Il faut être grand comme ça pour y monter. Entrée refusée pour les moins de 18 ans. Couvre-feu à 22 h. Et si obéir à ces règles était déjà un défi à l’époque, qu’est-ce qu’on fait des contradictions? Les lois mutuellement exclusives des différents mondes qui se croisent, le « reste toi-même » vocalisé et le « conforme-toi » implicite? Alors quoi? Quoi alors?
Uplifting par Pascaline Knight est nouée à l’accordéon et la pièce parle de façon minimale et ironique des tensions nerveuses de devenir adulte. Les dangers, la gaucherie, l’impossible et l’inévitable présent dans une magnifique sérigraphie de noir, de blanc et de rose. Directement devant vous, fixant au travers de vos années : regardant sans hésitation votre acné, vos broches et vos sentiments bizarres. Êtes-vous prêt à revenir à 16 ans?