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Room to breathe in Sandra Riley’s writing - slack action – a courtesy not often afforded. Not being one of two witnesses in love and domination, we are offered glimpses into elements of the unconscious all too familiar. Projection, rejection.

Questions regarding the productive nature of violence/docility. Who I am after you? Eventually only ghosted – thoughts, a voice, a presence long after.

“I deny I fell – I curtsied.”

Les écrits de Sandra Riley laissent un peu de place pour respirer, un luxe que l’on se permet rarement – de l’action épisodique. N’étant pas l’un des deux témoins de l’amour ou de la domination, on peut apercevoir des éléments d’un inconscient déjà trop familier. Projets, rejets…

Un questionnement sur la nature productive de la docilité/violence. Qui suis-je après toi? Et puis, un jour, seulement le fantôme d’une idée, d’une voix, d’une présence qui nous manque.

« Je n’ai pas chuté – j’ai tiré ma révérence. »

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