From the astral planes of Alexandra Jaworiwsky:
A fascist, incompetent leader. His barely-loyal crew. A girl and her gang of do-gooder misfits. A.G. Pasquella’s Newtown is the love child of human history and a fast-paced, late night cartoon sitcom. The characters are in a race against their own human condition: some trying to put a stop to humanity, some trying to save it. It is not a standard reflection of the typical good vs. evil binary, but an exploration of the gray matter that drifts through space and through our very lives. Newtown is a spaceship, filled with sentient, capable machines and is itself a thinking entity. With it, Pasquella exposes the downside to technological determinism and the dangerous belief in a “pure” race of creatures. He strips away the layers of what makes us human, and keeps the serious nature of the message light with witty, telling humour and extravagant characters.
Des plans astraux d’ Alexandra Jaworiwsky: (Traduit par Natalie Binda)
Un chef fasciste et incompétent. Son équipage peu loyal. Une fille et sa bande d’âmes charitables marginaux. Newtown, par A.G. Pasquella, est l’enfant illégitime de l’histoire de l’humanité et un sitcom de dessin animé de fin de soirée au rythme soutenu. Les personnages font partie d’une course contre leur propre condition humaine: quelques-uns tentent de freiner l’humanité, d’autres tentent de la sauver. Ce n’est pas la réverbération habituelle opposant typiquement le bon et le mauvais binaire, mais l’exploration d’une matière grise dérivant dans l’espace et dans nos vies mêmes. Newtown est un vaisseau spatial rempli de machines conscientes et compétentes et constitue une entité pensante en soi. Par l’entremise de ce vaisseau, Pasquella expose l’inconvénient du déterminisme technologique et la croyance dangereuse en une race « pure » de créatures. Il enlève les couches de ce qui nous rend humains et maintient avec légèreté la nature sérieuse du message en utilisant un humour révélateur et plein d’esprit ainsi que des personnages extravagants.