From the ideophonic terrene of Joshua Robinson:
This binate work of words and sounds is hermeneutically intoned through aural glyphs. The poetry of Benjamin Brandes seems to be comprised of component phrases that are rooted to fundamental truths as poetic phonemes painted from the palette of the moth’s wings: the penchant of auricular stillness. Coupled with the (in)audible compositional stirrings of Daniel Brandes and the musical whispers of Andrea Young, this poetry becomes embedded in an attenuated ideophonic terrene where both subject and medium are one and the same; presentational amorphisms structured by syntax and let loose to conquer the vast stillness in the space behind our eyes and between our ears.
Des idéophones terreux de Joshua Robinson: (Traduit par Jessica Grenier)
Ce travail binaire combinant les mots et les sons est entonné herméneutiquement par des glyphes oraux. La poésie de Benjamin Brandes semble composée de fragments de phrases qui prennent racine dans des vérités fondamentales comme des phonèmes poétiques peints depuis une palette d’ailes de phalènes, révélant un penchant pour l’immobilité auditive. Cette poésie, jointe aux vibrations composées (in)audibles de Daniel Brandes et aux murmures musicaux d’Andrea Young, se retrouve dans un mince écrin d’idéophones terreux où sujet et médium se confondent : l’amorphisme présenté est structuré syntaxiquement avant d’être libéré pour envahir l’immobilité étendue dans l’espace derrière nos yeux et entre nos oreilles.