From the gazing abyss of V. Rachel Weldon:
On the 30th time around, gaze and periphery smear into a unified awareness, and eyes in the back of the head flutter open. Don’t fear the abyss that gazes back. Carousel offers “mutant readers” a consciously curated rendered reality, in a space where the patterns of artistic production and consumption are altered, and the gallery is always open. Inside, four frames enclose surrealist serials, like picture windows that gaze into the inner city unconscious, the black comedic center of the inner (k)id. And an all-night elbow machine cranks out copies of one-of-a-kinds. Shade your eyes, the flood of light might burn your dull retinas if you’ve been staring at shadows a long time.
De l’abime persistant de V. Rachel Weldon: (Traduit du regard sombre de Dominic Mpilé)
Pour la 30e fois, le regard et la périphérie se répartissent au sein d’une conscience fusionnelle, et les yeux derrière la tête clignent, ouverts. Ne craint pas l’abime qui se prolonge en profondeur. Le magazine Carousel offre aux “lecteurs mutants” une réalité retrouvée délibérément structurée, dans un espace où les modèles de consommation et de production artistique sont modifiés, et la galerie d’art est toujours ouverte. A l’intérieur, quatre cadres renferment une série d’images surréalistes, comme des fenêtres picturales qui illustrent l’inconscient au cœur de la ville, l’âme comique inconsciente d’un enfant. Par ailleurs, une machine musicale jouant toute la nuit vomit des copies de pièces uniques. Masquez vos yeux, le flot de lumière pourrait brûler vos rétines sombres si vous vous êtes comportés comme des ombres un bon moment.