From the alleyways and avenues of James Lindsay:
There are always two ways to walk a city. The first is its obvious face, efficient and fair, presented to citizen and tourist alike. The second is for those who don’t want to be seen, forgoing sidewalks in favour of the shadow streets that maze in back, as if an afterthought, but really a functional necessity. For many who have lived most of their lives in Toronto, Michael Cho’s drawings are as iconic as anything you might find on a postcard bought at the base of the CN Tower, yet have a dreamlike quality that's at once instantly familiar but also unplaceable. You know you've been in some of these images, but couldn’t say when. You were only passing through to somewhere more apparent, more populated, and decided to take a shortcut where the planners didn't intend for us to walk. But we do, and often at night.
Des ruelles et avenues de James Lindsay: (Traduit par les pérégrinations de Dominic Mpilé)
Il y a toujours deux façons de découvrir une ville à pied. La première est de parcourir son côté visible, fonctionnel et attrayant, présenté autant aux citoyens qu’aux touristes. La seconde est pour ceux qui ne veulent pas être vus, ceux qui renoncent à emprunter les trottoirs en faveur du labyrinthe de ruelles sombres qui se déploie derrière, telle une arrière-pensée, mais pourtant essentiel d’un point de vue fonctionnel. Pour beaucoup qui ont vécu la majeure partie de leur vie à Toronto, les dessins de Michael Cho sont aussi iconiques que n’importe quelle carte postale achetée au pied de la Tour CN, mais présentent un caractère onirique, endroits instantanément familiers mais insituables. Vous savez vous être trouvé dans quelques-unes de ces images, mais vous ne pourriez dire quand — vous ne faisiez que passer en direction d’un lieu plus lumineux, plus populeux, et vous avez décidé de prendre un raccourci, là où les planificateurs urbains ne nous attendaient pas, mais nous y marchons, et souvent la nuit.