From the nostalgic words of Aaron Levin:
The Pink Noise's first full-length takes off from the early-80s minimal synth scene and molds the sound into something entirely post-00. The strange mix of basement-macabre, drum machine lonertude, and red-line reverb, definitely command your attention as he weaves through echoing layers of game-show-organ-grinding and digital-tropicalia-minimalism. The squid on the cover is certainly apt; you will be pulled in every direction and forced to confront the boundaries of musical genre. Or it'll all just sound like a messy teenage bedroom.
Des mots nostalgiques d’Aaron Levin:
Le premier album* complet de The Pink Noise part de la scène minimalement synthétisée du début des années 80 et moule le son en quelque chose d’entièrement post-00. L’étrange mixe d’un macabre de sous-sol, d’une exclusion de boîtes à rythmes et de limites de réverbe demande votre attention alors qu’il s’incorpore à travers des couches faisant écho au grincement d’orgue de jeu télévisé et du minimalisme digital tropical. Le calamar sur la couverture est certainement approprié; vous allez être tiré dans toutes les directions et forcé de confronter les frontières du genre musical. Ou ça va seulement sonner comme une chambre désordonnée d’un adolescent.