From the nostalgic words of Aaron Levin:
There is a subtle brilliance to Crazy Ocean's cassette debut. Firstly, the pop sensibilities are entombed in their unique magi-distortion and spread into a cosmic psychedelic soundscape, buttering your crispy whole-wheat cassette deck. Secondly, the vocal-hollering, blistering bass lines, and general-chaos seem to coalesce into a chromed middle-earth anthem; if middle earth existed in space and was built with lazers. You see? It's the perfect combination of the digital-future and our psychedelic past. Imagine wizards writing FORTRAN and troglodytes high-fiving Kool Keith while driving space cadillacs and you have their live show. Except that's obviously a lie. Because they're human. And brilliant. More! More! More!
Des mots nostalgiques d’Aaron Levin:
Il y a une brillance subtile dans les débuts de la cassette de Crazy Ocean. Premièrement, les susceptibilités sont enterrées dans leur unique magi-distorsion et étalé dans un paysage de sons psychédéliques beurrant votre croustillante cassette de grains entiers. Deuxièmement,le braillement vocal, les intenses lignes de basse et le chaos général semblent se fondre dans un hymne de la Terre du Milieu; si la Terre du Milieu existait dans l’espace et était bâtit avec des lasers. Vous voyez? C’est la combinaison parfaite d’un future digital et notre passé psychédélique. Imaginez des sorciers écrivant FORTRAN et des troglodytes faisant des ‘top-là’ avec Kool Keith pendant que des Cadillacs de l’espace et vous avez votre spectacle en direct. Excepté que c’est évidement un mensonge. Parce qu’ils sont humains. Et brillant. Plus! Plus! Plus!