From the mennonite harvest of Aaron Levin:
Trapped within the ephemeral "top five dead or alive desert island nascent garage punk singles of Canada," few compete with the utter rawness of our unthreaded friends of fibre. From "Mama"'s washboard wranglin' nastiness to "Believe Me"'s hypnotic, dissonant outro, the fybre forged new paths to a continuum of primitive gnarliness. Creative expression by any means necessary. Germinating in St. Clements, Ontario, and recorded in the tiny Mennonite community of St. Jacob's, their lone single received radio play on Kitchener's CHYM before the group quickly disappeared, laying the groundwork for future generations of collector frenzy. Mama!De la moisson mennonite d’Aaron Levin: (Traduit par la frénésie de Maya Keshav)
Piégé dans les “meilleurs cinq singles vivantes ou mortes île déserte garage punk naissant du Canada”, il y en a peu qui rivalisent avec la crudité pure de nos amis désenfilés de fibre. Depuis la vacherie querelleuse de planche à laver jusqu’à l’outrance hypnotique et dissonante de “Believe Me”, leur fybre a façonné nouveaux chemins dans une gamme de rudesse primitive. C’est l’expression créative par tous les moyens. Originaire de St. Clements, en Ontario, et enregistré dans la petite communauté mennonite de St. Jacobs, leur seul single était passé à la radio sur CHYM de Kitchener avant que le groupe ait rapidement disparu, en posant les bases pour les générations de frénésie de collectionneur à l’avenir. Chica boum chica boum.