From the Russian imports of Aaron Levin:
These two Russian hippie-bros emigrate to Ontario and release an album celebrating the pastoral scenery of their new home. With thick, stilted Ruskie accents and strange instruments (Cordovox?) they weaved twelve streams of folk-rock textures in dedication to our unique landscape. Their foreign perspective is the album's greatest strength; take their journey and visualize the vast industrial heartland through outside, lysergic eyes. The resulting innocence, both serene and moving, place the Brazda Brothers alongside other nationalized fringe-folk canon whose trails into uncharted territory shaped our anomalous soundscape (Riverson, Ptarmigan, PCC, etc). The band claims that 5,000 copies were pressed but the number of known copies states otherwise. Released on a budget label concerned mostly with fiddle and children LPs. I flipped my lid when I found a sealed copy of this!Des impôts russes d’Aaron Levin: (Traduit par l’espionne Russe qui est Maya Keshav)
Ces deux hippie-frères émigrent en Ontario et publient un album qui célèbrent les paysages pastoraux de leur nouveau chez-eux. Avec les accents russes guindés et les instruments bizarres (le Cordovox?) ils tissent douze flots des textures trad-rock dédiés à nos paysages uniques. Leur perspective étrangère est la force de l’album; faites leur voyage et voyez le coeur vaste et industrialisé avec leurs yeux étrangers et lysergiques. L’innocence qui résulte, aussi sereine qu’émouvante, met les frères Brazda aux rangs des autres groupes fringe-trad maintenant nationalisés, les chemins desquels dans un territoire inexploré ont formé nos paysages difformes (Riverson, Ptarmigan, PCC, etc). Le groupe soutient qu’ils ont imprimé 5 000 numéros mais la quantité des numéros connus dit autrement. Enregistré avec un label budget qui publie pour la plupart les LPs du violon et pour les enfants. J’était bouleversé quand j’ai trouvé ce LP scellé!