From the kraazy Saskatoon lovertude of Christopher Bateman
Ever wondered what a Prince or Babyface-inspired boy from the Canadian prairies looks and sounds like? By 1995, New Jack Swing was on its way out of radio favor and Saskatoon is about as far from a stronghold of hip hop informed R&B that you can get, but for better or for worse, that never stopped Indianapolis-born T. Lyles from putting out a collection of New Jack swangers in the heart of Joni-town. It is not exactly clear how Lyles is connected to Saskatoon, but it was there that he created his 12-bar New Jack rub-down of an album. For the most part, the disc is more weird than bangin', but it stands as a curious peek into an outsider prairie new jack inductee. Also: check the T-fade.De l’amoureux-attitude de la kraazy Saskatoon de Christopher Bateman: (Traduit par Odile Leclerc)
N’êtes jamais demandé de quoi à l’air un garçon inspiré de Prince ou Babyface des prairies canadiennes et comment il sonne? Par 1995, New Jack Swing sortait hors de la faveur radio et Saskatoon est aussi éloigné d’un R&B informé d’un château fort de hip hop qu’elle peut l’être, mais pour le meilleur ou pour le pire, cela n’a jamais arrêté T. Lyles, né à Indianapolis de publier une collection de swingueurs New Jack dans le cœur de Joni-ville. Ce n’est pas exactement clair comment Lyles est relié à Saskatoon, mais c’était là qu’il a créé son rub-down album 12-bar New Jack. Pour la majeure partie, le disque est plus bizarre que cognant, mais il se tient en tant qu’un curieux coup d’œil dans une célébrité New Jack étrangère de la prairie. Aussi : regardez le T-fade.