From the halcyon days of Alexander Moskos:
I’ll admit to never having actually found this record despite having searched for years. Pictured is a homemade CD bootleg someone made in the ’90s (1). Michael Snow’s best work hangs from the roof in Toronto’s Eaton Center (2) but this 2LP is so decidedly lo-fi and otherworldly that it belongs in the canon of Great Canadiana. Sadly, it will likely never be on any public school-system curriculum. Each of the four sides contain one long piece beginning with a solo whistling excursion, sounding at times like pygmies and at others like Dolphy. Snow just leaned over his reel-to-reel machine, puckered and blew a side of whistling, at times jaunty, at others, just straight OUT! Side 2 is repeated block chords slowly increasing in tonal violence, not unlike a piano version of the Shepard tone. Snow plays back side 2 on sides 3 and 4 at alternating speeds on the reel to reel machine, slowing it down so the low-end notes on his piano resonate glacially, coming off like a cruddy tape copy of Tim Hecker’s better moments. The whole package comes wrapped in typically clever and self-referential liner notes written by the man himself. (1) I remember buying a Well-tuned Piano booted CD-R set for an exorbitant price in those halcyon days. (2) Snow’s structural films are considered some of Canada’s great works of 20th century avant-garde, albeit slow moving ones. Also, Snow managed to sue Eaton’sDes jours heureux de Alexander Moskos: (Traduit par Maya Keshav)
J’admets qu’en fait j’ai jamais trouvé cet enregistrement même si je le cherchais pendant des années. Pictured est un CD fait-maison de pirate que quelqu’un a créé dans les années 90 (1). Le meilleur travail de Michael Snow est accroché au toit du Centre Eaton à Toronto (2) mais ce 2LP est si complètement lo-fi et éthéré qu’il mérite d’être dans l’œuvre du meilleur art du Canada. Malheureusement, il semble peu probable qu’il sera dans un programme lycée public. Chacun des quatre voies comprend un longue morceau qui commence avec une balade solo de sifflement, qui a l’air parfois de pygmées et parfois l’air de Dolphy. Snow s’est penché sur son magnétophone, il a fait la bouche en cul-de-poule, et il a siffloté, parfois enjoué, ou parfois, juste LOUFOUQUE! La face 2 comprend les double-cordes répétées qui augmentent lentement le niveau de violence tonale, comme une version piano de la gamme de Shepard. Snow repasse la face 2 aux faces 3 et 4 aux vitesses alternantes sur la boîte bobine-bobine, en le ralentissant pour que les low-end notes de son piano résonnent à pas de tortue, ayant l’air d’une copie cassette merdique des meilleurs moments de Tim Hecker. Les textes sur la pochette sont caractèristiquement vives et autoréférentielles, écrites par l’homme lui-même. (1) Je me souviens de payer énormément cher pour un CD-R de Well-tuned Piano dans ces jours heureux. (2) Les films structurels de Snow sont estimé d’être parmi les plus grands œuvres d’avant-garde vingtième siècle au Canada, bien qu’ils soient lents. En plus, Snow a réussi à attaquer Eaton’s en justice pour avoir mis les nœuds de ruban sur son installation Flight Path. Qui résonne; merde, une flotte aérienne a volé au-dessus de nous à l’instant.