From the hidden melodies of Brandon Hocura:
Loneliness, despite its title, is an album with a warm heart of wires and at its core is the long-term musical friendship between Don Stagg and Eric Simpson. The duo formely recorded epic home-baked prog under the name VIIth Temple, releasing one hideously rare burnt-orange LP release soaked in gentle Moog, Mellotron and Giant. On Loneliness the pair traded in their plumes, velvet and epic jam band for thin ties and a cheap drum-machine. The LP still carries a whiff of patchouli, but the sound stings of solder and electricity, and inhabits a nascent zone somewhere between krautrock and new-wave. The vocals are all clustered on the a-side, starting with an ode to the inefficiency of the T.T.C. (some things never change!). The dystopian sci-fi themes are par for the League, a highlight is love ballad "Anna King" that sounds like it could be an outtake from Trans. The instrumentals on the b-side feel decidedly more Teutonic, and have a certain CBC charm that sounds like JP Decerf recording for Parry Music. The side even opens with a slinky stoned Pink Panther. About the loneliest thing about this album is the incredible cover photo. Don Stagg told me that he climbed up on a rooftop in St. James Town to take a photo for the sleeve when he came across a young man doing crack. The man was surprisingly obliging and Don snapped this evocative photo as night fell over the cold city. Take hold of this preserved slice of Ontario sprawl if ever you get the chance, it’ll probably surprise you to know how little has changed in all these years.Des mélodies cachées de Brandon Hocura: (Le mode en rafale de Odile Leclerc)
Loneliness, malgré son titre, est un album avec un cœur chaleureux de fils et en son cœur se tient l’amitié musicale au long terme entre Don Stagg et Eric Simpson. Le duo a précédemment enregistré un épic prog fait-maison sous le nom de VIIth Temple, mettant en vente une sortie de LP d’un rare orange brûlé trempée dans du Moog-doux, Mellotron et Giant. Sur Loneliness la paire ont échangé leurs plumes, velours et épic groupe de jam pour de minces cravates et des batteries bon marché. Le LP porte encore des odeurs de patchouli, mais le son pique de soudure et d’électricité et habite une zone naissante quelque part entre krautrock et nouvelle vague. Les chants sont tout amassés sur la face-a, commençant avec une ode à l’inefficacité du T.T.C. (certaines choses ne changent pas!). Les thèmes dystopiens de science fiction sont égaux pour la Ligue, un point culminant est la ballade romantique ‘’Anna King’’ qui sonne comme si ça pourrait être un prélèvement de Trans. Les instrumentaux sur la face-b sont décidément ressentis plus comme Teutonique et avait un certain charme de CBC qui sonne comme l’enregistrement de JP Decerf pour Parry Music. Le côté s’ouvre même une sinueuse Panthere rose défoncée. À propos du truc de solitude de cet album c’est l’incroyable photo couverture. Don Stagg m’a dit qu’il a grimpé sur un toit à St-James Town pour prendre une photo pour la manche quand il a rencontré un jeune homme prenant du crack. L’homme était étonnement aimable et Don a pris cette photo évocatrice alors que la nuit tombait sur la froide cité. Empoignez cette tranche préservée d’étalement d’Ontario si vous en avez la chance, ça va probablement vous surprendre de savoir comment peu de chose ont changé durant toutes ces années.