From the brain washed bossmen of Aaron Levin:
This is the first (and hopefully last) time anything Blood, Sweat, and Tears related will appear within our northernly quadrant. Thankfully, most things of a fantastic nature endure humble beginnings, and David Clayton Thomas' second single on ACTA embodies this vision. Paving the way for the ensnarled, rabid, wave known as garage-punk, Thomas embodies the enigmatic Bo Diddley on his first two singles. However, somewhere hidden within "Lucy", DCT breaks the brooding, bass-frothy organ with a scorching scream. The resulting shreddery kick-starts the droning organ that wraps the cacophony in wondrous 4-4 time. Certainly not psychedelic, nor overly punk, "Lucy"'s simplicity is its charm, and for whatever reason, its present is totally without mention within the DCT discography. Thanks to Brandon Hocura / Polyphasic Studios for the transfer. Rad.Des supérieurs avec les cerveaux lavés d’Aaron Levin: (Traduit par le sang, la sueur et les larmes de Maya Keshav)
Voici la première (et avec un peu de chance, la dernière) fois que quelque chose reliée à Blood, Sweat, and Tears va apparaître dans notre quadrant du nord. Heureusement, la plupart de choses d’une nature fantastique endure les débuts humbles, et le deuxième single de David Clayton Thomas sur ACTA incarne cette vision. En ouvrant la voie à l’onde harneuse et enragée qui s’appelle garage-punk, Thomas incarne l’énigmatique Bo Diddley avec ses deux premiers singles. Néanmoins, caché quelque part dans “Lucy”, DCT casse l’orgue maussade et débordant de basse avec un cri torride. Le shred qui résulte relance l’orgue bourdonnant qui emballe la cacophonie au rythme merveilleux de 4/4. C’est certainement pas psychédélique, ou trop punk. La simplicité de “Lucy” est son charme, et pour n’importe quelle raison, son don est complètement sans allusion dans la discographie de DCT. Merci à Brandon Hocura / Polyphasic Studios pour le transfer. Génial.