Carlyle Williams - Gotta Go For It!
Here it is: the Patron Saint of weird Canadian records. Alongside Corpusse’s Delusions and Bernard Bonnier’s Casse-Tête, Carlyle Williams’ Gotta Go For It! forms the Holy Trinity of '80s Montreal private press beauty; each of them summing their parts and transcending with a one-man-one-wholly-formed vision possessed of unbridled id and utter disdain for the prevailing rules and praxis. Forgotten in the usual fetishizing of the “filles du roi" cypher (1), beyond bloodlines French-royal and First Nation, is that Montreal’s women posses the ultimate sexy quality: good taste. And so it went that Leila Majeri (2) and Marie-Douce St. Jacques (3) played me Gotta Go For It! and on each separate occasion, my mind split open, the air charged, everything changed, and the damn crew hasn’t been the same since. Released in 1988 and recorded at the Unidisc studios (4) in Montreal’s St. Henri neighbourhood, Gotta Go For It!’s qualities are many: blocky Chung King Studios drum programming, a careening non-chops guitar style that sounds like The Birthday Party minus the fireworks-display fay hairdos, and streams of vocal overdubs that make whomever Tim Buckley thought he was on Starsailor seem like a sane and well adjusted man. Some tracks have a synthetic tropical vibe that predicates the various fi’s (5) of the last half-decade like a boss, raising bloody hell in the listener's mind, forcing one to reconsider every aesthetic category. For all its sonic density and deistic power, Carlyle’s message, via truly inspiring vocal work, is positive: obsessive self-awareness and accompanying self-criticism can be reality forming, that the more you look INSIDE the more you will see. That, as he says on “No Reason”, “There is no reason for your next depression. And that’s the truth.” Which as an underlying vibe makes Gotta Go For It! unique amongst the great works of 20th century Canadian art. Gotta Go For It!’s sleeve states: “The more you look - The more you see”, and like all amazing ass records, the more you listen, the more you hear.

Carlyle Williams - Self-Criticize Daily ...

Carlyle Williams - Moving Up

Carlyle Williams - The Price ...

Carlyle Williams - Gotta Go For It ...

(1) These women, who were poor and undereducated, often orphaned, and in their teens or early twenties, were sent over from France for the men of Canada. The rumour-that-won't-die is that they were prostitutes. (2) Screen printer extraordinaire, often using the nick Alphonze Raymond, and also the drummer in the amazing Yomul Yuk. (3) Editor-in-chief of the awesome aMAZEzine, which lasted a few issues, came with a GYBE! 7” and generally covered a zone, Marie-Douce was also the Farfisa player and vocalist in Pas Chic Chic! I sat down with her to discuss this piece. (4) Obviously, as the '80s wore on and disco, particularly the French-Canadian kind, receded in popularity, Unidisc fell on hard times and started renting out their facilities cheap. They were based in the RCA building, who obviously were slowing down themselves. (5) Lo, no, slow, glow, hi and high fidelities, be it Ariel Pink, Spencer Clark, James Ferraro and the rest, you can hear Carlyle in the faux madness. The incredible Afternoon Penis tape on Heavy Tapes is the most obvious student of Gotta Go For It!, however. Worth looking into for fans of Carlyle.
C’est ici : le Saint Patron des étranges records Canadiens. Avec Delusions de Corpusse et Casse-Tête de Bernard Bonnier, Gotta Go For It! De Carlyle Williams forme La Trinité Sainte de la beauté de la presse privée des années 80 de Montréal; chacun d’eux additionnant leurs parties et transcendant avec un-homme une vision complètement formée possédée d’ ID incontrôlées et de total dédain pour les règles actuelles et les pratiques. Oublié dans le fétichisme habituel du code ‘’filles du roi’’ (1), au-delà des lignées royales Françaises et des Premières Nations, c’est que les femmes de Montréal possèdent l’ultime qualité sexy : de bon goût. Et alors c’est venu que Leila Majeri (2) et Marie-Douce St. Jacques (3) m’ont joué Gotta Go For It! Et à chaque occasion séparée, mon esprit c’est fendu, l’air s’est chargé, tout a changé et la putain d’équipe n’a jamais été la même depuis. Sortie en 1988 et enregistré aux studios Unidisc (4) dans le quartier de St. Henri à Montréal, les qualités de Gotta Go For It! sont multiples : la programmation de batterie des Studios Chung King en bloc, un style carénant de guitares sans techniques qui sonne comme The Birthday Party moins les coiffures fay de démonstration de feu-d’artifice et de flots des sur-enregistrements vocales qui fait à quiconque Tim Buckley pensait qu’il était sur Starsailor sembler comme une personne saine d’esprit et un homme bien arrangé. Quelques pistes ont une sensation synthétique tropicale qui attribuent les fis(5) de la dernière moitié de décennie comme un champion, faisant un boucan monstre dans l’esprit des auditeurs, forçant l’un à reconsidérer chaque catégorie esthétique. Pour toute sa densité sonique et son pouvoir déiste, le message de Carlyle, via un travail vocal réellement inspirant, est positif : de la conscience de soi obsessive et accompagner l’autocritique peut former la réalité, dont le plus vous regardez à l’INTÉRIEUR le plus vous verrez. Ceci, comme il dit dans ‘’No Reason’’, ‘’ Il n’y a pas de raison pour ta prochaine dépression. Et c’est la vérité.’’ Ce qui en tant qu’une ambiance sous-adjacente rend Gotta Go For It! unique parmi les grands travaux de l’Art Canadien du 20e siècle. La pochette de Gotta Go For It! dit: ‘’Plus tu regardes—plus tu vois’’, et comme tout les super géniales enregistrements, plus tu écoutes, plus tu entends.

Carlyle Williams - Self-Criticize Daily ...

Carlyle Williams - Moving Up

Carlyle Williams - The Price ...

Carlyle Williams - Gotta Go For It ...

(1) Ces femmes, qui étaient pauvres, sous-éduquées et souvent orphelines, dans leurs adolescence ou début vingtaine, étaient envoyées pour les hommes du Canada. La rumeurs qui ne veut pas mourir c’est qu’elles étaient des prostituées. (2) L’extraordinaire de la sérigraphie, utilisant souvent le surnom Alphonze Raymond, et aussi le batteur dans le formidable Yomul Yuk. (3) Éditeur en chef du super aMAZEsine, qui a duré quelques publications, est venu avec un GYBE! 7’’ et couvre générallement une zone, Marie-Douce était aussi la joueuse et chanteur de Farfisa dans Pas Chic Chic! Je me suis assis avec elle pour discuter de cette pièce. (4) Évidemment, alors que les années 80 s’usaient et le disco, particulièrement le genre Français-Canadien, diminuait en popularité, Unidisc est tombé sur des temps durs et a commencé à louer leurs installations à bon prix. Ils étaient basés dans l’édifice RCA, qui eux aussi évidemment ralentissaient. (5) Basse, sans, lente, brillante, hi et haute fidélité, que ce soit Ariel Pink, Spencer Clark, James Ferraro et le reste, vous pouvez entendre Carlyle dans la fausse folie. L’incroyable cassette Afternoon Penis sur Heavy Tapes est l’étudiant le plus apparent de Gotta Go For It!, cependant. Ça vaut la peine d’y jeter un coup d’œil pour les fans de Carlyle.