From the partially-ordered, semi-continuous grippage of Aaron Levin:
We have witnessed the possessed meanderings of teenagers pushed to the creative fringe for years. It's not uncommon these days for some residential weirdo to emerge from their suburban cave with a MySpace full of damaged sounds teetering on the edge of unsanity. This was not the case for Canada's underground rock scene of the 60s, whose output pales numerically to our American counterparts, owing to a lack of custom pressing plants and home-recording equipment. Which is why it's incredible that Calgarian Doug Wong, at the tail end of 1969, when psychedelic music delivered its last blow to the world's unsuspecting youth, decided to package the last issue of his high-school newspaper with a 7" of school "rock bands" (I've posted the full story here). The resulting 7" has become a truly bewildering artifact of Canada's marginalized fringe music community: a compilation of unfettered teenage expression; trashy, face-melting, fuzz-drenched glorious hard-rock mingling amongst Dylan-inspired folk and sunshine pop. A beautiful peak into the small lives of folk-club weirdos at a time when their sounds usually withered and vanished. Amazing and incredibly rare. This is the third time I've written about this record and it still astounds me.Du grippage semi continu et partiellement ordonné d’Aaron Levin: (Traduit par Maya Keshav)
Nous avons été témoins des méandres possédées d’adolescents poussés à la lisière du créatif pendant des années. Ce n’est pas non-commun ces jours pour un quelconque bizarroïde résidentiel d’émerger de sa grotte de banlieue avec un Myspace plein de sons endommagés se balançant sur le bord de la folie. Ce n’était pas le cas pour la scène rock clandestine des années 60 au Canada, dont les résultats palissent numériquement face à notre contrepartie Américaine, le devant à un manque d’habitude pressant les plantes et l’équipement d’enregistrement maison. Voilà pourquoi c’est incroyable que le Calgarien Doug Wong, à la fin de 1969, quand la musique psychédélique livrait son dernier coup à la jeunesse innocente de monde, décidait d’emballer la dernière parution du journal de son école secondaire avec un 7’’ du ‘’groupe rock’’ d’école (j’ai publié l’histoire complète ici.) Le 7’’ résultant est devenu un artéfact vraiment ahurissant de la communauté de musique en lisière marginalisée du Canada : une compilation de libres expressions d’adolescents; de sales solos de guitare, du glorieux hard-rock trempé de flous se mélangeant parmi le peuple inspiré de Dylan et de lumière de pop. Un magnifique regard dans les petites vies des bizarroïdes de club à un temps où leurs sons fanaient et disparaissaient habituellement. Stupéfiant et incroyablement rare. C’est la troisième fois que j’ai écrit cet enregistrement et il m’ébahit encore.