From the breaking point of Aaron Levin:
Obscure lyrsergic artifact from the totally unpsychedelic pastures of 60s Edmonton, Alberta. Jack Hennig's second foray into the world of self-released 7" obscurity left us with two syrupy, drug-induced pop-psych laments. Maybe Tomorrow's classic garage-punk woes pull the untamed ears to oblivion while the faux-sitar and pop harmonies on Busy People win me over with vintage diy conviction. Jack Hennig would go on to be a country singer of national renown and now resides in Edmonton having forgotten almost everything about his hip-trip maneuvers with The Breaking Point Group.Du point de rupture d’Aaron Levin: (Traduit par Odile Leclerc)
D’obscures artéfacts lysergiques des pâturages totalement non-psychédéliques des années 60, Edmonton, Alberta. La seconde percée de Jack Hennig dans le monde de l’obscurité d’auto-mise en vente de 7’’s nous a laissé avec deux sirupeuses lamentions de pop psych induites par la drogue. Les soucis de classique punk de garage de Maybe Tomorrow tire les oreilles indomptées dans le néant pendant que les faux-sitar et les harmonies pop sur Busy People m’ont avec la conviction DIY de choix. Jack Hennig se lancerait pour être un chanteur de country de renommé national et habite maintenant à Edmonton ayant oublié presque tout à propos de ses manœuvres de voyage hip avec The Breaking Point Group.