From the staff of (omon) Ra, as wielded by Aaron Levin:
Omon Ra II lands in Montreal and immediately unleashes a seething explosion of post-hyperbole psych-punk: relentless equalizer rejection and blazing guitar shreddery battling for every magnetic millimeter. Meanwhile, Dirty Beaches departs Montreal for sunny Vancouver and metamorphoses into wild nullophonic mystic rockisms; wasted, minimally-greased rockabilly for deadbeat cowboys and vintage thuggery. An odd paring, but this isn't the first time the Omon moniker sat beside something equally disparate. Mind = blown.Du bâton de (omon) Râ, manié par Aaron Levin:
Omon Ra II arrive à Montréal et lance immédiatement une explosion cinglante de psych-punk post-hyperbole: le rejet d’égaliseur incessant et la déchiqueterie torride de guitare combattent pour chaque millimètre magnétique. Au même temps, Dirty Beaches quitte Montréal pour le Vancouver ensoleillé et se transforme en rockessences mystiques, nullophoniques et folles; c’est le rockabilly bourré et minimalement graissé pour les cowboys bons à rien et la brutalité rétro. C’est un jumelage bizarre, mais ce n’est pas la première fois que le nom Omon s’est assis à côté de quelque chose également disparate. B o u l e v e r s a n t .