From the hesitating affections of Christina Bell:
Betty Told Me listens like an album-long conversation on the hazards of hesitating affection. It’s a swaying drama, jangling out a breezy narrative on navigating the mean streets of fallin’ in and outta love. Even though they’re mostly singing about losing, The Submissives are an easy kind of cool. They are bent on telling it like it is. Simple. Straight forward. Unaffected? Aching.De l’affection hésitante de Christina Bell: (Traduit par le flafla douloureux de Mathieu Bédard)
Betty told me s’écoute comme une conversation qui durerait tout un album au sujet des dangers d’une affection hésitante. C’est un drame ondulant, un récit cliquetant et désinvolte sur le pilotage dans les rues périlleuses de l’amour et du désamour. Même si elles chantent surtout sur le fait d’être perdantes, The Submissives sont cools tout de suite en partant. Elles sont résolues à dire les choses comme elles sont. Simplement. Sans flafla. Sans être affectées? Douloureusement.