From the shambling slackertude Michael Deane:
New Waterford's bedroom-punk heeds no boundaries. Fuzzed-out mono-pop, warped keyboard layers and oscillating noise behind shambling slackertude all play together, seamlessly blending the last 20 years of college rock, lo-fi jams and punk aggression. Rebecca's Room keep it interesting and surprising, and this CD’s eight songs don't even seem to scratch the surface of the band's anthemic, monotonically drawled out bangers. “Cherry” embodies youthful exuberance and wasted nights of ingested meaning, while “All That You Say” has Dylan-esque blasé and hooks for days. These upper-downer jams mix with more contemplative fare to bring a full serving of the frantic but bored, laid back psych-acoustic numbers and blown-out noise pop.De l’attitude feignante de Michael Deane: (Traduit par la cerise de Maya Keshav)
Le bedroom-punk de New Waterford fait attention à aucune limite. La mono-pop super-floue, les couches déformées du clavier, et le boucan oscillant derrière l’attitude feignante et traînante jouent tous ensemble, en mélangeant sans heurt les derniers 20 ans du college-rock, des boeufs lo-fi et de l’agression punk. Rebecca’s Room continuent d’être intéressant et surprenant, et les huit chansons de ce CD n’ont même pas l’air d’effleurer le sujet des succès hymnaux et monotones du groupe. “Cherry” incarne l’exubérance juvénile et les nuits gâchées des sens ingérés, alors que “All That You Say” est blasé façon Dylan et a les accroches qui duront pendant des journées. Ces tounes stimulantes-sédatives mélangent avec celles qui sont plus songeuses pour fournir une portion complète des morceaux frénétiques mais qui s’ennuient, des pièces relax de psych-acoustique, et la pop bruitiste bourrée.